Jardin secret des répétitions
David Nouga - Espace web du musicien classique

Détail descriptif des opus

Leur  Histoire...

Ses oeuvres musicales

Ses œuvres sont écrites, sous les formes musicales classiques, telles que ci-dessous définies :

(se retrouvent entre parenthèses, les dates-clé d'écriture ou de création en public) :

 

Œuvres sans opus (ou parfois notées ''opus 25'' pour le piano)

 

David NOUGA (1976), musique de chambre

  

Ses Études pour piano

 

Parfois  également intitulée  les  'Études harmoniques'


David Nouga, comme compositeur camerounais et suisse, a écrit une vingtaine d'études instrumentales pour piano. Toutes composées plus ou moins entre 1991 et 1995. Elles demeurent donc des œuvres de jeunesse. Il avait à peine ses 16 ans lors de leur écriture. Souvent compliquées à jouer techniquement au piano, parce qu'étant enfant, il était un excellent improvisateur au piano, et parce qu’il s’avérait disposer d'une oreille musicale exceptionnelle. Les thèmes classiques qu'il improvisait à cette époque, sont généralement plutôt proches de ceux que l'on pourrait retrouver dans le romantisme de Johannes Brahms ou dans celui de Sergei Rachmaninov. Ses différents textes de partitions manuscrites classiques sont actuellement tous disponibles auprès de l’organisme de la SUISA. Mais il faut l'autorisation de l'auteur. Les œuvres musicales du compositeur David Nouga se situent généralement aux antipodes du nihilisme de certains de ses contemporains. Ce qui ne l'empêchera pas d'être moderne dans l'écriture et les harmonies propres à certaines de ses œuvres-clés. L'une de ses premières pièces écrites et composées pour la musique de chambre sera une Élégie, écrite  pour violoncelle et piano (1991).

 

Classification de ses  différentes œuvres musicales


Oeuvres sans opus

 


Ses principales compositions

                Quelques œuvres composées et classées par opus

                Œuvres musicales majeures dans sa musique de chambre

 

Musique de chambre

                Avec les opus affiliés chronologiquement par date de composition et d’écriture

                cela donne la liste d’œuvres suivante, à ce jour :



Opus 1                   1 Trio élégiaque n°1


Pour violon, violoncelle et piano (créé en public dès 1992-1993, 1ère création en public, cette participation et prestation eurent lieu en concert devant plus de 800 personnes, dans le cadre de la salle  de Franck - Martin de Genève, et sous le regard professionnel et  attentif de Philippe Béran ...). Les deux trios sont composés à l'époque pour le trio Damassi, trio d'étudiants constitué de Simone Flükiger, Marie Demottaz et le compositeur.


Opus 2                   1 Trio élégiaque n°2


pour violon, violoncelle et piano (créé en public dès 1997, 1ère création en public,  dans le cadre de la  salle de concert de l'Institut Jaques - Dalcroze,  salle comble)


Opus 3                   1 Sonate  pour violon et piano.


Créée en public dès 1995 et 1997, 1ère création en public des deux versions. Cette pièce est d'une très haute virtuosité violonistique et pianistique, alors que pourtant, le thème du début ne laisse rien présager de la tempête musicale qui s'en suit. Belle pièce romantique, elle fut rejouée dans le cadre du Festival Amadeus en septembre 1999, avec le compositeur au piano. Et cette œuvre musicale y obtint un vif succès. La Sonate en ré majeur   opus 3 fut à l'origine, une oeuvre composée pour Simone Flükiger, violoniste suisse prometteuse, et surtout la meilleure amie d'enfance du compositeur. Elle fut donc la toute première musicienne violoniste à l'avoir déchiffrée en privé avec le compositeur au piano. Première lecture du manuscrit qui eut lieu à Lancy, à la villa des parents de la violoniste. Lieu d'heureux souvenirs d'enfance pour ce compositeur. Ce n'est qu'en 1996, que le jeune musicien fait la rencontre fortuite du violoniste français William Garcin, lors d'un concert genevois, alors qu'il était accompagné de sa mère et de sa soeur Laure. Les deux musiciens furent amenés à travailler ensemble et c'est dans ce contexte que, s'étant liés d'une amitié sincère également, le violoniste Garcin eut l'occasion de lire lui aussi le manuscrit de l'opus 3 de David. Ils furent ensuite amenés à travailler sur le manuscrit pour finalement le créer en concert (création mondiale) en 1997. Simone Flükiger, et autant en raison de leur grande amitié d'enfance, et de l'époque, fut la première violoniste suisse à lire les manuscrits des opus 1 et 2, ainsi que la première musicienne classique à les créer en concert, et avec le compositeur au piano, devant salle comble (Frank Martin), à Genève. Les deux trios élégiaques opus 1 et 2, et écrits dans le début des années 90, sont le résultat d'une belle complicité. Durant cette période, ils déchiffrèrent encore avec le violoniste Marc Paquin, en privé, la Sonate pour deux violons et piano, sans opus et que le compositeur avait écrite également à leur intention. Et avec le violoniste William Garcin, le compositeur créa en 1999 dans le cadre du Festival Amadeus, le quintette en sol mineur, avec piano et cordes et que le compositeur rédigea pour la formation de Garcin, et qu'il dédia à l'écrivain franco - suisse François Hudry. Tandis qu'avec William, ils interprétaient à nouveau la sonate pour violon et piano, opus 3. David aurait aimé voir William Garcin (violon) et Martha Argerich (piano) lui la jouer. Puis qu'ils lui l'enregistrent ensemble. Mais le manuscrit original ayant été volé chez le compositeur à Lancy en 2004. Malheureusement, il n'en subsiste qu'une copie archivée à la SUISA, qui, sous divers prétextes, en refuse généralement l'accès.


Opus 4                   1 Mélodie pour mezzo-soprano, avec accompagnement au piano.


Sa 1ère création mondiale se réalisa le 10 juin 1997. Le texte, écrit  par le compositeur, et la mélodie en elle-même, firent l'objet d'une réussite surprenante. Extrêmement difficile à chanter en raison de la tessiture nécessaire à sa réalisation. L'émotion de ce texte musical ne laisse pas ses auditeurs indifférents, généralement. D'autant que la création fut réalisée par le fils au piano et sa mère au chant. Elle fut en effet créée dans le cadre de la salle du  Conservatoire de Musique de la Place Neuve, devant une salle comble. La pièce reçut les vives félicitations du jury du Conservatoire. 


Opus 10  ou notée : Sans numéro  d’opus :  1 Fugue pour piano (1997 - achevée en 2007).


Très belle dans le romantisme. Son niveau de virtuosité demeure des plus complexes. En effet, outre l'harmonie extrêmement riche de l'œuvre musicale. Elle est autant complexe (l'harmonie), sinon davantage, que celle des études pour piano de ce compositeur. On pourra penser que c'est facile à jouer. Et cela n'est pas du tout le cas. Le manuscrit cependant fut volé à Büsserach dans le canton de Bâle durant l'année 2007 (dans l'appartement du compositeur).


Opus 5                   1 Quintette avec piano


Pour deux violons, alto et violoncelle et piano (la 1ère création mondiale, Septembre  1999 au Festival Amadeus)


Opus 6                   1  « Complainte aux confins de l'Espérance »


Pour violon alto solo (2001) dédiée à la metteur en scène française Jacqueline Rouard, dont la carrière fut vaste en France et aux États - Unis. Le manuscrit original de l'oeuvre fut malheureusement volé à Lancy en 2004. Et Jacqueline Rouard n'a jamais confirmé avoir reçu la copie de l'oeuvre que le compositeur lui fit parvenir par la poste suisse (2001).


Opus 7                   1 « Résonnance »


Pour violon solo (2004). La virtuosité de cette œuvre musicale réside dans la justesse à obtenir, tout en conservant l'expression sensible de l'œuvre écrite pour l'instrument du violon. Elle fut présentée pour déchiffrage à une étudiante de la HEM de Lausanne, peu après sa composition. Moment amusant, malgré la gravité de la pièce. Il faut savoir que le compositeur et sa famille eurent un terrible accident de la route, cette même année : le 1er octobre 2004.


Opus 8                   1 Quatuor à cordes


Pour deux violons, alto, violoncelle (2008). Écrit à la table, c'est à dire sans piano. Cette pièce est une exception dans le procédé. Car habituellement, toutes les compositions de l'auteur sont écrites, avec l'aide d'un piano. Plus comme un exercice qu'autre chose, ce quatuor est une sorte de parenthèse dans les opus de ce compositeur. Il fut composé à Delémont, en Suisse. Et de la même manière que pour les trios et la sonate pour violon et piano, le quatuor à cordes n'est constitué que d'un mouvement. 

 

Pièces orchestrales


Choeurs et Philharmonie (Orchestre symphonique)


Nouveauté : Messes  I  et  II

MESSES  DE  NOUGA

 

Opus 9                  1 Messe en  do mineur


Pour double chœur et orchestre. Composée du 12 octobre 2009 au 11 novembre 2009. C'est une œuvre-clé majeure de ses créations. C'est la première fois que le compositeur écrit une partition pour un (double) chœur et grand orchestre philharmonique. Bien que cette œuvre n'a donc encore jamais été jouée. Puisque son écriture sur partition vient de s'achever (2009). Cette œuvre-clé fait partie de ses prochaines actualités musicales. C'est une ouverture majestueuse, sombre, très noble. Le legato orchestral associé à celui du chœur, y est de toute importance. Le texte n'est pas très recherché. C'est un 'Kyrie'. Mais sa symbolique est profonde. Intitulée par l'auteur : 'Marche - Kyrie', c'est d'autre part la toute première œuvre manuscrite consacrée au domaine de la musique sacrée, par ce compositeur. Le   texte est disponible auprès de la SUISA (dès le mois de Janvier 2010).

 

Opus 11                1  Requiem en sol et do mineur


Pour double choeur d'opéra et orchestre philharmonique. Composé  entre janvier 2010 et octobre 2011. Recueil de prières chantées à 16 voix. Voir sous présentation de l'Opus 11. Page d'accueil du site web de David. L'oeuvre fut déposée, confiée et archivée à la SUISA le 11 octobre 2011, à Lausanne. Elle dure environ 1 heure. Le texte en latin est disponible sur ce site dans la rubrique "présentation de l'Opus 11". Informations sur l'oeuvre : Les choeurs sont cependant écrits selon les règles de solfège de la vieille école (il faut donc y faire attention dans le cadre de la tessiture de chant et vérifier à quelle hauteur se situe l'art de la note chantée). Les altos sont parfois écrits en clés de sol et de fa, et non plus en clé d'ut 3è. C'est voulu. Par ailleurs, les altos sont délibérément parfois appelés à monter comme des violons (et c'est possible à faire...). C'est le cas en raison d'une volonté d'obtenir un timbre particulier. Il ne s'agit pas d'une erreur de négligence. C'est également le cas pour les violoncelles. Il ne s'agit pas d'une erreur. Le compositeur voulait délibérément obtenir les aïgus d'orchestre aux cordes, et si particuliers à ces deux instruments propres (altos et violoncelles). La ligne est tout simplement plus belle comme ceci par eux que par des violons qui la chanteraient avec un timbre différent dans leur tessiture. Il s'agit finalement d'un jeu de timbre orchestral. Parfois, les violons doivent descendre dans les graves pour obtenir ce fameux timbre propre aux violons dans les graves, et pourtant également  si différents de celui des altos dans la même tessiture. C'est difficile à faire mais c'est réalisable, en pensant à de la musique ancienne, bien que ce soit romantique... L'intérêt se situe dans la structure architecturale de  la liturgie des textes latins de ce requiem, laquelle a un sens qui est très profond. Il faut donc en faire l'analyse musicale.








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Détails des compositions musicales de David Nouga par opus



  

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